On distingue en général 3 catégories de questions :
Elles laissent toute liberté à l'interviewé quant au contenu, à la forme et à la longueur de sa réponse.
Un exemple
Ce sont des questions pour lesquelles on impose à l'interviewé la forme et un nombre limité de réponses possibles. Au sein de cette famille, on distingue 3 groupes :
- les questions dichotomiques : l'interviewé doit choisir 1 réponse parmi 2 possibles.
Un exemple
- les questions à choix multiples et réponse unique : l'interviewé doit choisir une réponse parmi un choix supérieur à 2 modalités.
Un exemple
- les questions à choix multiples et réponses multiples : l'interviewé peut choisir une ou plusieurs réponses parmi un choix supérieur à 2 modalités.
Un exemple
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- Les échelles d'attitude :
Ces questions ont pour rôle de mesurer une croyance, une intention, une importance... Elles peuvent se présenter sous différentes formes :
- échelles de Likert : elles mesurent un degré d'accord ou de désaccord avec la phrase annoncée.
Un exemple
- différentiels sémantiques : l'interviewé doit se situer "quelque part" entre 2 adjectifs, expressions ou phrases opposés. Ce type de questions sert à évaluer une image de marque, de produit ou d'entreprise (robuste/fragile, beau/laid).
Un exemple
- échelles à support sémantique : échelles dont les libellés sont à des distances psychologiquement égales l'une de l'autre.
Un exemple
- échelles d'intention : l'objectif de ce type de questions est de mesurer une intention déclarée de comportement de la part de l'interviewé.
Un exemple
- échelles à icônes (smiling faces) : ces échelles permettent des études sur des populations dont les capacités de traitement sont limitées (notamment les enfants) ou auprès de populations dont les capacités de traitement sont différentes des nôtres.
Un exemple
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